La manche sud-est du Trophée Pyrénéen de Bike Trial, le dimanche 9 mai à Montpellier (34), a été plutôt épique (pluie et pluie...encore!).
Vince était venu (en solo encore cette fois, sans suiveur) mais s'est présenté moins cuit que pour la compétition précédente (une fois ça va).
Malgré le manque d'opposition en Elite (une dizaine), le parcours était bien plus conventionnel pour les compétitions, tracé par et sur les terres de Marc Caisso (plutôt technique et varié). Vince boucle le parcours à 1 pt (perte du levier de frein rendu glissant sur l'index et pied de rattrapage) devant le technique Marc Caisso à 7 pts (qui a du subir lui aussi les affres de l'eau du ciel!).
"Ça va. J'ai eu de bonnes sensations cette fois. Ça répondait mieux et j'avais de la stabilité dans les placements. Même sous la pluie, je me suis bien fait plaisir. Bonne initiative de venir faire le déplacement encore tout seul. Faut gérer les choses sans personne, et ce n'est pas déplaisant du tout: pas d'aide logistique, pas d'encouragements, pas de renseignements. C'est un autre truc. Mais bon, vivement l'Espagne maintenant!
On va tous se retrouver et se mesurer sur des évènements super motivants. Faut contrôler l'impatience. T'imagine? on s'entraîne que pour cette petite période de l'année. C'est frustrant, mais quand ça arrive, c'est cool..."
Vince était venu (en solo encore cette fois, sans suiveur) mais s'est présenté moins cuit que pour la compétition précédente (une fois ça va).
Malgré le manque d'opposition en Elite (une dizaine), le parcours était bien plus conventionnel pour les compétitions, tracé par et sur les terres de Marc Caisso (plutôt technique et varié). Vince boucle le parcours à 1 pt (perte du levier de frein rendu glissant sur l'index et pied de rattrapage) devant le technique Marc Caisso à 7 pts (qui a du subir lui aussi les affres de l'eau du ciel!).
"Ça va. J'ai eu de bonnes sensations cette fois. Ça répondait mieux et j'avais de la stabilité dans les placements. Même sous la pluie, je me suis bien fait plaisir. Bonne initiative de venir faire le déplacement encore tout seul. Faut gérer les choses sans personne, et ce n'est pas déplaisant du tout: pas d'aide logistique, pas d'encouragements, pas de renseignements. C'est un autre truc. Mais bon, vivement l'Espagne maintenant!
On va tous se retrouver et se mesurer sur des évènements super motivants. Faut contrôler l'impatience. T'imagine? on s'entraîne que pour cette petite période de l'année. C'est frustrant, mais quand ça arrive, c'est cool..."
