Pas de français sur la première marche 26 pouces.
Bigre.
On s'était habitué aux belles performances des trialistes hexagonaux mais cette année, ça ne passe pas.
C'est le sport.
Y a pas de parachute doré ici.
Ni d'excuses.
Quand on tombe, on tombe.
Le truc c'est de se relever, de sourire et de remettre le couvert.
Comme s'il ne s'était rien passé.
Ce n'est que du sport.
Loin des affres dans lesquels se débattent certains de nos concitoyens.
Dans la maladie, la misère ou les drames psychologiques...
Alors que dire?
Peut-être ce que disait Théodore Roosevelt lorsqu'il expliquait que :"Le mérite appartient à l'homme qui se bat dans l'arène, le visage maculé de poussière, de sueur et de sang. Il persévère, s'égare, manque à nouveau son but, car il n'y a pas d'effort qui ne s'accompagne d'erreurs et d'échecs. Dans le meilleur des cas il rencontre le triomphe de la réussite; dans la pire hypothèse, s'il échoue, c'est pour avoir beaucoup osé.
Si bien que sa place ne sera jamais parmi les âmes frileuses et timides qui ne connaissent ni la victoire ni la défaite."
Si ça ne remet personne en selle ça...
Je ne comprends plus rien.
Bon courage à tous.
Franck.
